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[每日听力]法国总理每天都要做些什么呢?一起来探索一下吧~

2017-07-11

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Une journée avec le Premier Ministre

Salut, c'est Hugo. Il est 7 heures et demie, je me trouve actuellement à Matignon, là où se trouvent les bureaux du Premier Ministre Edouard Philippe. On est parti pour une journée qui promet d'être très chargée.


L'objectif de cette vidéo suivre une journée d'Edouard Philippe, pour comprendre le fonctionnement de Matignon, le rôle du Premier Ministre et voir tout simplement à quoi peut ressembler l'une de ses journée.


C'est la première avec ce format, et si ce format vous plait on pourra le reproduire avec d'autres personnalités ou institutions.


On a de la chance, parce que c'est une journée très chargée pour le Premier Ministre entre réception du président ukrainien, rendez-vous à l'Elysée, ou rendez-vous avec plusieurs ministres à Matignon.


Bref, sans plus tarder, on va y aller en commençant tout de suite, par une réunion d'agenda du Premier Ministre, suivie d'un rendez-vous avec Gérald Darmanin, le ministre de l'Action et des Comptes Publics.


- Bienvenue à Matignon.


- Merci beaucoup.


La matinée débute donc pour le Premier Ministre avec une réunion d'agenda qui vise, surprise, à définir l'agenda des jours à venir.


Dans la foulée Edouard Philippe rencontre Gérald Darmanin, ministre de l'Action et des Comptes Publics, qui est par ailleurs issu du parti les républicains comme le Premier Ministre.


Ce rendez-vous, il vise tout simplement à préparer le discours de politique générale du 4 juillet, un discours extrêmement important pour le Premier Ministre, je vous explique tout ça un peu plus tard.


Allez je me rends maintenant dans le bureau du Premier Ministre, l'objectif étant d'interviewer Edouard Philippe, pour comprendre comment lui perçoit son rôle de chef du gouvernement.


- Bonjour monsieur le Premier Ministre.


- Bonjour.


- La France, elle a cette particularité d'avoir un pouvoir exécutif à deux têtes, puisque le président le partage avec le Premier Ministre à qui une place plus ou moins importante est laissée. Le Premier Ministre a par exemple été qualifié de simple collaborateur sous Nicolas Sarkozy ; alors que Manuel Valls a pu se distinguer par son omniprésence, quel type de Premier Ministre est-ce que vous comptez-être ?


- Alors d'abord, le fait qu'il y ait deux têtes à l'exécutif, c'est pas original, c'est extrêmement classique. Dans tous les pays du monde, on a créé, les peuples ont accepté. . . Enfin bref, il y a un exécutif à deux têtes. L'originalité de la France c'est pas tellement la dyarchie exécutive comme on dit en laguage savant.


- Le droit constitutionnel.


- C'est le fait que les deux têtes de l'exécutif aient un pouvoir important. Ça c'est une spécificité, aux États-Unis le président il a beaucoup beaucoup de pouvoir, et vice-président, il attend que le président meurt. . . pardon. . . mais c'est une formule que les américains utilisent parfois eux-même.


En Allemagne il y a un président de la République et il y a un chancelier, c'est le chancelier qui a le pouvoir mais le président a des pouvoirs symboliques qui sont importants.


En Angleterre, la reine, elle n'a pas de pouvoir exécutif, enfin c'est la reine, donc elle incarne la nation et elle a évidemment un pouvoir symbolique très important et c'est le Premier Ministre chef de la majorité parlementaire qui a tout pouvoir.


En France, le président est élu directement par les Français, il a beaucoup de pouvoir, c'est la cinquième République. Et le Premier Ministre qui est le chef du gouvernement et le chef de la majorité, il a beaucoup de pouvoir aussi. Je pense qu'il y a une lecture commune ou pas des institutions par le président de la République et par le Premier Ministre.


- Et du coup la vôtre la dessus, comment est-ce que vous l'imaginez ?


- Elle est assez en ligne avec celle du président. Le président préside, il fixe le cap, il a la légitimité de l'élection au suffrage universel. Il a la légitimité d'être la clé de voûte des institutions, parce que c'est comme ça que fonctionne la cinquième République. Et pour être tout ça, c'est pas parce qu'il est tout ça, c'est pour être tout ça, il a besoin d'avoir un Premier Ministre qui pilote le gouvernement, qui prend les arbitrages. . .


- Qui gouverne.


- Qui gouverne, ça ne marche que comme ça.


- Alors une question maintenant sur votre lien avec l'assemblée nationale et les députés nouvellement élus, la moyenne d'âge de cette nouvelle assemblée nationale est de 49 ans, elle était de 54 ans en 2012.


- Je croyais que c'était 48.


- Alors peut-être que je me suis trompé. En préparant, à priori c'est 48 ou 49 ans, en tous cas elle était de 54 ans en 2012. Est-ce que vous pensez que cela aura un impact sur le quinquennat à venir ? Et si oui, comment ?


- Je vais pas faire de jeunisme. Je pense que plus que la diminution de la moyenne d'âge ça doit être l'Assemblée Nationale la plus jeune qu'on ait vu depuis à mon avis depuis 1958.


- Il y avait 81 et 58 effectivement.


- Je pense oui. . . Donc plus que l'abaissement de la moyenne d'âge, qui est en soi un signe de rajeunissement de l'Assemblée Nationale, pourquoi pas, c'est plutôt bien. Je pense qu'il y a un indicateur qui est encore plus important c'est le renouvellement. Il y a 430 députés sur les 577 qui sont des nouveaux députés, alors ça pour le coup, ça c'est impressionnant comme renouvellement.


Et je pense que ça, implique des choses au moins aussi forte que la diminution de la moyenne d'âge, de même que le caractère extrêmement large de la féminisation de l'assemblée nationale. On doit avoir dépassé les 40 % rapport hommes/femmes, là encore amène des choses.


Au fond, c'est le renouvellement et la transformation du visage la représentation nationale qui est une bonne chose, c'est pas simplement son rajeunissement.


Et puis, je vais vous dire un truc que je crois profondément. Je crois pas tellement au jeunisme intellectuel, je veux dire. Je pense que. . . je pense qu'il y a des hommes et des femmes qui ont dépassé les 70 ans, qui sont extrêmement jeunes dans leur tête.


Et je pense à l'inverse, qu'il y a des hommes et des femmes qui ont 20-25, 30 ans qui sont déjà très vieux dans leur tête. Je ne suis pas sûr que l'âge des artères soit l'indicateur essentiel de la jeunesse et de la vitalité intellectuelle.


- Alors, la question sera . . .


- Ceci dit, je dis peut-être ça parce-que j'ai 46 ans et je sens que. . .


- Non non mais. . .


- Mais franchement je suis assez convaincu de ce que je dis.


- Vous êtes membre des républicains et en tant que Premier Ministre vous êtes, c'est l'objet de cette vidéo, chef de la majorité, une majorité la république en marche. Est-ce que vous ne craignez pas une remise en cause de votre légitimité du fait de votre parcours, et du fait que vous êtes issu des républicains, alors que le président est bien sûr "en marche" ?


- Bah écoutez, ce qu'on fait avec le président de la République, ça n'a jamais été tenté. Donc, j'ai bien conscience que quand vous tentez un truc qui n'a jamais été fait, ça pose des questions, ça surprend, ça agasse sans doute un petit peu. J'ai quand même l'impression que les Français, le 11 et le 18 juin ont validé assez largement, même très largement, la logique que l'on avait portée avec le président de la République.


C'est quoi cette logique : c'est de dire, lui vient d'une formation politique la république en marche, et a un passé qui fait plutôt de lui un homme qui vient de la gauche, même si il s'en. . . il ait certains égards affranchi.


Au lieu de gouverner avec simplement les gens qui ont voté pour lui au premier tour de l'élection présidentielle, c'est-à-dire au fond avec 25% des Français, il propose aux Français d'élargir complètement la base de son gouvernement et sa majorité, et gouverner avec ceux qui ont envie de s'inscrire avec lui dans une logique plutôt pro-européenne, plutôt libérale, plutôt attentive à l'autorité l'état, plutôt attentive à des solidarités qui fonctionnent bien.


Ce dans quoi moi je me retrouve totalement, et on a fait valider ça par l'élection législative, alors ça m'a valu beaucoup de critiques de la part de mes amis, et pour certains de mes anciens amis, et pour certains de mes toujours amis des républicains.


Bon bah. . . je peux le comprendre et après tout, ils ont le droit de penser que c'était un mauvais choix, un mauvais calcul. . .


Enfin, la démocratie c'est le respect de ceux qui pensent pas comme vous, je respecte évidemment ça. Mais je crois pas que ça me pose un problème vis-à-vis de la majorité actuelle.


- Des députés "En Marche"


- Bah oui les députés "En Marche" ont été élus sur une ligne sur un programme formulé par le président, et sur une ligne incarnée justement par cette recomposition politique, dont moi en tant que Premier Ministre, mais bien d'autres en tant que membre du gouvernement, ou en tant que parlementaire ont dit combien elle leur semblait intéressante.


- Alors une dernière question, concernant les ministres ils ont été choisis bien sûr pour appliquer le programme du président de la République, sont-ils de simples exécutants où est-ce que les décisions politiques de leur domaine leur reviennent ?


Si je prends l'exemple, par exemple de Nicolas Hulot, qui est peut être un écologiste un petit peu plus offensif que le président et vous, en tout cas on peut voir des divergences, qui décidera et qui tranchera en cas de désaccord.


- D'abord, tout a été mis sur la table au moment où on a composé le gouvernement, personne n'a été pris par surprise, Nicolas Hulot, il sait qui je suis.


- Il est conscient des divergences.


- Et moi je sais qui il est, et ce qui m'intéresse c'est ce qu'il est, c'est pas l'idée que je m'en fais, c'est ce qu'il est. Et donc, le principe de base ça a été de dire, on doit travailler ensemble on doit discuter ensemble on doit essayer de trouver les bonnes décisions ensemble.


Les ministres sont là pour penser des politiques publiques, les incarner, les mettre en œuvre, faire en sorte de trouver des solutions aux problèmes que se posent les Français, faire en sorte de faire rebondir et faire avancer le pays, c'est ça leur job.


Et moi en tant que Premier Ministre je suis là pour fixer le cadre général, et pour régler quand un ministre n'est pas d'accord avec un autre ministre, ou quand il pense qu'il faudrait aller plus vite ou moins vite, ou quand il pense qu'il faudrait aller plutôt par là, alors que l'autre non.


Bon, ça veut dire qu'il faut arbitrer pour avoir une position globale, et le job du Premier Ministre c'est ça. C'est de garantir qu'on arrive bien à l'objectif fixé par le président de la République et de maintenir une cohérence dans l'action publique, et donc, de décider, on dit arbitrer, donc de décider, d'arbitrer, et c'est l'essentiel de mon job.


Ok. Bah, merci beaucoup monsieur le Premier Ministre d'avoir accepté de répondre à ces quelques questions, et nous du coup on poursuit cette journée à Matignon.


Sans plus tarder, n va voir le chef de cabinet adjoint, pour qu'il nous explique son rôle au sein de Matignon.


- Bonjour, Mohamed Hamrouni. Quand vous présentez votre travail, votre métier à des gens qui sont assez loin de l'univers politiques, comment est-ce que vous le définissez ?


- Et bah c'est très simple. Le Premier Ministre a un calendrier assez chargé, il se déplace très souvent qu'il s'agisse de visites officielles dans d'autres états, de visites d'entreprises, d'éventements et de sommets auquel il doit participer, etc. Il se déplace beaucoup.


Moi, mon job c'est d'organiser les déplacements du Premier Ministre. Donc concrètement, je fais le tour en double. C'est à dire que avant le jour J, moi, je me déplace pour faire des visites de reconnaissance. Donc là, je fais les séquences le programme du Premier Ministre, je m'occupe aussi de tout ce qui est transport du Premier Ministre, de la sécurité du Premier Ministre.


Je travaille avec le fabuleux gspm c'est le groupe de sécurité du 1er ministre qui sont juste géniaux qui nous facilitent la vie donc voilà c'est vraiment organiser le déplacement de A à Z.


- Est-ce que vous-êtes amené à arbitrer des désaccords à prendre des décisions difficiles ? Et si oui, quel genre de décisions ?


- Ça peut arriver le jour J qu'on ait des impondérables, et que le programme ne correspond plus à tout ce qu'on a fait en reconnaissance. Donc, à ce moment-là faut pas paniquer surtout qu'on a souvent la presse avec nous.


Donc voilà, un exemple un il se met à pleuvoir, on a prévu une séquence en extérieur. Il faut qu'en deux secondes, il faut qu'on trouve un plan de de substitution. Voilà.


Une autre décision difficile que je dois prendre souvent, c'est que je tiens le timing des déplacements. Donc, je dois souvent empêcher le Premier Ministre de passer trop de temps avec les Français, alors qu'il adore ça et que les Français l'adorent pour l'instant, donc espérons que ça continue.


Il est donc 12h40, le Premier Ministre a rendez-vous avec le président de la République Emmanuel Macron à l'Élysée dans quelques instants. Donc, on va rentrer dans le cortège et se diriger vers l'Élysée.


Après le rendez-vous à l'Élysée, Edouard Philippe a reçu le président ukrainien Porochenko à Matignon.


Concernant la réception des chefs d'état, il arrive comme c'est le cas ici avec le président ukrainien que la rencontre avec le président de la République soit suivie d'une rencontre avec le Premier Ministre.


En général, l'objectif est d'avancer sur un certain nombre de dossiers et de prolonger les discussions.


Par exemple, ici le rendez-vous avec Macron portait notamment sur la situation en Crimée, alors que le rendez-vous avec Edouard Philippe portait davantage sur les relations entre les deux pays et les échanges économiques notamment.


Le président ukrainien vient de quitter Matignon, mais la journée n'est pas finie pour Edouard Philippe qui reçoit cet après-midi quatre ministres de son gouvernement pour des réunions.


Pourquoi autant de réunions avec des ministres ?


Et bien pour deux raisons.


D'abord première raison, parce que c'est bien le Premier Ministre et non le président de la République qui est le chef du gouvernement. Autrement dit c'est lui qui est en relation directe avec les ministres.


La deuxième raison est celle qui explique qu'il y ait autant de réunions en ce moment, c'est la déclaration de politique générale.


Le 4 juillet devant l'Assemblée Nationale, Edouard Philippe prononcera un discours de politique générale, qui vise à présenter les grandes orientations de la politique du gouvernement.


A l'issue de ce discours, le Premier Ministre engagera la responsabilité du gouvernement et les députés effectuent ce que l'on appelle un vote de confiance.


Si la majorité des députés ne votent pas la confiance, le gouvernement est contraint de démissionner, mais cela n'arrivera pas le 4 juillet du fait de la large majorité "En Marche".


Tenez justement en sortant de son rendez-vous, j'ai pu poser la question du rôle des ministres dans la préparation de ce discours à Bruno Le Maire, le Ministre de l'Economie et des Finances.


- Vous venez de sortir d'un rendez-vous ici avec Edouard Philippe, on a vu aujourd'hui un certain nombre de ministres avoir ce rendez-vous avec le Premier Ministre, quel rôle est-ce que vous jouez personnellement dans la préparation du discours de politique générale d'Edouard Philippe ?


- Le rôle est très simple c'est de présenter au Premier Ministre quelles sont nos grandes orientations dans notre champs de compétence. Donc moi, c'est l'économie et les finances, dire au Premier Ministre quelles sont les décisions que l'on compte prendre sur le secteur industriel, sur les PME sur la construction de la zone euro, sur la transformation de la zone euro d'une zone monétaire en zone économique.


Et après que ça puisse nourrir sa déclaration de politique générale, en débat, il y a des sujets sur lesquels il dit oui ça, je trouve que c'est très important ça, je trouve que c'est plutôt accessoire, ça il faut vraiment mettre le paquet dessus.


Par exemple, sur le sujet industriel qui me tient très à cœur, je pense qu'on pas encore creuser les propositions et avoir un cap encore plus ambitieux. Et donc, c'est dans ces échanges-là que j'espère que nous aidons le Premier Ministre à préparer son discours de politique générale.


Alors, pendant la journée et j'ai pu rencontrer un certain nombre de conseillers de ce cabinet, l'idée étant de comprendre leur rôle au sein de Matignon, voici leur réponse.


- Si vous deviez présenter votre travail, comment est-ce que vous pourriez le présenter ?


- On réunit les différents conseillers des ministres, on veille à ce que l'action soit cohérente, et à ce que les prises de position à l'international reflètent aussi les priorités de notre pays, telles qu'elles ont été fixées par le Premier Ministre sous l'autorité du Président de la République.


- Il y a une partie très importante qui est-ce qu'on va appeler les arbitrages interministériels, alors c'est quoi ce barbarisme bien tout simplement, chaque ministère est responsable d'un domaine de compétence, et puis c'est à Matignon que revient la tâche, donc d'arbitrer de prendre des décisions lorsqu'elles concernent plusieurs ministères. Ça va être par exemple, répartir les tâches ça va être dire qui va être le leader dans un domaine pour préparer pour une décision etc.


- Lorsqu'on est conseiller, est-ce qu'on vous demande seulement une expertise ou est-ce qu'il faut aussi exprimer son opinion ?


- Évidemment on est aussi là pour faire de la politique, au soutien des engagements et des ambitions du président de la République et du Premier Ministre.


- Un bon conseiller, c'est quelqu'un qui a des idées, qui a une expérience, qui a un peu vécu en fait, et qui connait soit une région, soit un type de problème, et qui va donc essayez de de tester au vue de cette expérience les idées qui lui sont remontées par les services, par les administrations pour faire le meilleur conseil possible à son Premier Ministre, à son président.


Une fois que l'arbitrage a été rendu que la décision a été prise, et bah il va appliquer en bonne foi.


Voilà, il est 21h, c'est la fin de cette journée, enfin pas tout à fait, puisque juste derrière moi Edouard Philippe est en train de rencontrer des chefs d'entreprise, de PME pour un dîner.


J'espère en tout cas que cette vidéo vous a plu. Si c'est le cas n'hésitez pas à mettre un maximum de pouces bleus, et à vous abonner, si ce n'est pas encore le cas.


Comme vous le voyez c'est une journée qui était extrêmement chargée, et encore j'ai pas eu le temps de tout tourner. Cet après-midi notamment il y avait aussi un rendez-vous entre le Premier Ministre et Sophie Cluzel, et le Premier Ministre et Jean-Yves le Drian, là aussi pour préparer le discours de politique générale qui aura lieu le 4 juillet.


Bref en tout cas j'espère vraiment que cette vidéo vous aura plu, c'est un format que je voulais faire depuis longtemps, quel que soit le président qui est élu ou le gouvernement qui est nommé.


Donc en tout cas si jamais cette vidéo vous a plu, je pourrai la refaire avec d'autres personnalités ou d'autres institutions.


Merci à Matignon pour m'avoir accueilli et notamment bien sûr au Premier Ministre.


On se dit à très vite.

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