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[每日听力]购物狂欢时代下的冷思考,如何摆脱过度消费的恶性循环?

2023-05-16

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PEUT-ON SORTIR DE LA SOCIÉTÉ D'HYPERCONSOMMATION ?


La nuit de Noël, il y aura près de 100 millions de cadeaux au pied des sapins.



Coup d'envoi des bonnes affaires, ils sont des dizaines à s'être levés tôt
pour être sûrs de ne rien manquer.



Nous sommes à la veille d'une grande journée pour les ménages français
dont le moral paraît en baisse en ce début d'année.



Mais qui feront quand même le bonheur des commerçants
dès demain matin un peu partout en France.
Bah oui, ce sont les soldes qui commencent.



Moins 50, moins 60 et même moins 70%, deuxième voire troisième démarque.



SMS m'indiquant qu'il y a des promos, si je peux passer devant et puis en bénéficier, autant y aller.



Cortège de SMS et publicités, impossible de rater le Black Friday.



Vous avez fait plus de courses que d'habitude ou quoi ?



J'en sais rien, j'ai pris n'importe quoi.



Quand on part de bas, comme les Français sont partis de bas après la guerre,
et qu'on commence à devenir consommateur et à satisfaire ses besoins de base,
incontestablement, consommer, ça améliore les conditions de vie et ça rend les gens plus heureux.



Ça génère du bien-être.



Mais quand on a déjà beaucoup,
eh bien, consommer encore plus quand on consomme déjà beaucoup,
ça ne rend pas forcément beaucoup plus heureux.



Dans notre système économique globalement et dans nos vies individuelles,
on est encore dans une société d'hyperconsommation incontestablement.



Oh madame, non, c'est moi qui l'ai pris la première.



Je suis d'accord madame.



Non, non, non.



Je vous l'avais pris la première.



Écoutez, madame.



Non, je suis d'accord.



Regardez-vous, non.



Il y en aura pour tout le monde.



L'hyperconsommation, c'est un peu la suite de la société de consommation.



Donc, la société de consommation, elle naît aux États-Unis dans l'entre-deux-guerres,
lorsque les salariés ont commencé à avoir un pouvoir d'achat suffisant
pour pouvoir consommer au-delà du strict nécessaire,
pour revenir travailler le lendemain dans le même état physique.



Ça a mis un peu plus de temps à arriver en Europe
et en gros, on considère que les 30 glorieuses, c'est le démarrage.



Cette société de consommation où on ne travaille pas uniquement pour vivre,
mais où on a de l'argent pour se faire plaisir, pour s'équiper,
pour bénéficier du confort que les technologies modernes peuvent apporter, etc.



On évoque le terme d'hyperconsommation
pour caractériser la société contemporaine, j'ai envie de dire, à partir des années.



C'est très difficile de le dater précisément.



En gros, les années 80.



Les besoins de base de la plupart des consommateurs sont couverts.



Les conditions de vie collectivement se sont nettement améliorées.



C'est absolument incontestable.



Mais il y a une sorte de saturation qui arrive.



Le capitalisme a besoin de croissance.



La consommation, c'est l'aboutissement du circuit économique.



Donc, il faut trouver des leviers pour inciter les consommateurs à consommer encore,
alors qu'ils en ont déjà beaucoup.



La voie royale, c'est l'innovation.



C'est créer de nouveaux produits qui satisfont de nouveaux besoins.



Alors ça, ce n'est pas tous les jours qu'on a une révolution technologique
qui permet de le faire.



On a eu le numérique qui, à la fin des années 90,
a apporté un tas de nouveaux biens, de nouveaux services.



D'ailleurs, les ménages se sont précipités pour s'équiper.



Donc, c'est une vraie réussite.



Sur votre minitel, il y a forcément le service qui peut vous rendre service.



J'appuie sur Envoi.



Voilà.



Regarde maman tout ce qu'on peut faire comme étude, même quand on est nul en maths.



Tu n'as vraiment pas de quoi pleurer.



Pour l'annuaire des services minitel, tapez 3615 MGS.



Mais on n'a pas ça tous les jours.



Et quand on n'a pas ça, on a plutôt tendance à pratiquer ce qu'on appelle la pseudo-innovation.



On veut convaincre le consommateur que le produit qu'il a est devenu obsolète,
qu'il doit se dépêcher d'aller chercher une nouvelle version qui est très supérieure.



Et là, il se fait un petit peu gruger, mais c'est là qu'entre en scène le marketing,
qui est le deuxième levier qu'on va utiliser.



On va essayer de comprendre les ressorts du désir à la limite chez chaque consommateur.



Et aujourd'hui, les technologies numériques permettent d'avoir une vision microscopique
des attentes des consommateurs.



Et on va faire feu de tout bois pour activer ce désir.



Et notamment, on ne va pas se contenter de mettre en avant les fonctionnalités du produit,
dire que le produit est super, c'est efficace, ça va être très utile au quotidien.



On va essayer de jouer plutôt sur le caractère émotionnel, sur la dimension immatérielle de la consommation.



On va jouer plutôt sur les affects, pour raisonner globalement,
donc une consommation plus psychologique, une stimulation de la consommation qui est plus psychologique.



Ce qu'on a observé à court terme, c'est que la croissance de la consommation reste positive,
au niveau macro, tout confondu.



Et en tout cas, elle n'illustre pas la dynamique du pouvoir d'achat qui elle,
jusqu'à maintenant, était en baisse.



Pourquoi ? Parce que les ménages ont essayé d'ajuster le choc.



C'est très difficile de remettre en question ces habitudes du jour au lendemain.



Donc on a tendance à le faire progressivement, et la variable d'ajustement, ça va être l'épargne.



Donc le taux d'épargne a diminué, il faut dire qu'il était à un niveau très élevé après la crise sanitaire.



Donc on a réduit l'épargne, on a éventuellement puisé dans l'épargne,
pour certains, on s'est même endetté, pour arriver à amortir le choc.



On commence déjà à le sentir, que les comportements de consommation
sont en train de s'ajuster à la situation macro-économique.



L'ambiance n'est pas vraiment à la légèreté et ne donne pas forcément envie de s'éclater en consommant.



La dernière vague d'enquête que nous avons réalisée, elle est toute fraîche,
elle était terminée la semaine dernière.



On la voit remonter un tout petit peu, cette appétence à la consommation.



Ce qui marque la période contemporaine,
c'est l'obligation pour beaucoup de ménages et de consommateurs de faire des arbitrages,
parce que si on veut consommer comme avant,
ça ne passe pas en raison de la dégradation du pouvoir d'achat.



Donc il faut qu'on calcule, il faut qu'on renonce à certaines choses
pour en privilégier d'autres.



On est plus sensible au prix, on va chercher le bon plan, etc.



Mais je ne pense pas que ça remette fondamentalement en cause
la place que la consommation tient dans notre système économique globalement
et dans nos vies individuelles.



On est encore dans une société d'hyperconsommation incontestablement.



La situation actuelle incite les consommateurs à aller chercher des prix barrés.



On appelle ça l'achat malin.



Il y a mille manières de pratiquer l'achat malin.



On va attendre les soldes, on va profiter du Black Friday.



On achète d'abord les produits qui sont vendus en promo.



On peut acheter d'occasion plutôt que neuf.



On adhère à des systèmes de cashback.



Vous savez, des applications qui, si vous avez acheté le produit qui était indiqué,
on vous crédite sur votre compte quelques centimes
et au final, vous avez une petite cagnotte qui se constitue.



Tout ça se portait déjà assez bien avant la crise de cet épisode inflationniste,
mais là, c'est en train de flamber.



C'est une manière assez légitime de la part des consommateurs
d'essayer de faire face à un durcissement de la contrainte budgétaire.



C'est une manière de négocier la contrainte, de l'adoucir.



Les prix barrés, les mécanismes de réduction de prix,
comme on dit dans le domaine juridique,
c'est un des moteurs de l'hyperconsommation en réalité.



Et dans le cas extrême, on va avoir des consommateurs
qui achètent un rabais plutôt qu'un produit.



Et c'est typiquement ce qui peut se produire lors du Black Friday.



Vous n'avez pas d'idée précise de ce que vous avez envie d'acheter,
mais vous voyez une super affaire avec un taux de remise qui était impressionnant.



Vous vous dites, je ne vais pas laisser passer ce truc-là.



Comme en plus, ça n'a pas duré longtemps.



Vous ne prenez pas le temps de la réflexion,
vous ne prenez pas le temps de la comparaison,
vous mettez à acheter à peu près n'importe quoi.



Ensuite, le e-commerce aujourd'hui,
c'est un des nouveaux visages de l'hyperconsommation.



Ça représente à peu près 14% du commerce de détail.



C'est ouvert 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 pour commencer.



Et avec une offre pléthorique,
dans un contexte où l'individualisation de la société
provoque une individualisation de la consommation.
Avoir une offre d'une telle richesse, d'une telle profusion,
assure que chacun va trouver exactement le produit qui lui convient.



Je rappelle quand même que Amazon revendique
250 à 300 millions de produits de référence vendus en France.



Donc autant dire qu'il y a forcément le produit que vous cherchez.



Et une capacité d'observation du comportement du consommateur
sur les sites qu'on n'a pas encore,
ça va venir, de manière équivalente dans les magasins.



Donc on sait exactement les pages que vous avez vues,
combien de temps vous vous êtes arrêtés sur tel objet,
à quel moment vous avez renoncé, etc.



Et donc une capacité de vous stimuler
qui repose sur une connaissance individuelle de chaque consommateur
qu'on n'a pas du tout dans le monde physique.



Donc incontestablement, le e-commerce est un des nouveaux leviers
de la société d'hyperconsommation pour activer le désir de consommer.



Grâce à la crise sanitaire, le e-commerce a fait un bond en avant considérable.



2022 par contre, nous avons les chiffres pour les trois premiers trimestres.



Les trois premiers trimestres sont en baisse.



Donc le secteur s'essouffle.



C'est lié notamment à la conjoncture de la consommation en général.



Mais on a l'impression que c'est un peu plus que ce que la conjoncture devrait provoquer.



Il y a un petit retour à des modes de consommation plus traditionnels
après l'épisode long de la crise sanitaire.



Donc on retrouve un peu, un peu seulement
parce que là aussi il y a des difficultés d'acheminement des magasins.



Première conséquence de l'hyperconsommation,
c'est évidemment l'impact environnemental.



Pendant longtemps, on faisait comme si tout ce qu'on consommait,
tout ce qu'on jetait, ça disparaissait par enchantement.



On a enfin compris qu'on génère énormément de déchets,
énormément de déchets, notamment quand la consommation est une consommation jetable.



Fort heureusement, on commence à s'en soucier et à s'organiser.



Les grenelles d'abord, puis ensuite la loi anti-gaspillage
pour l'économie circulaire a quand même accéléré très sensiblement
la mise en place de filières de collecte, de tri et de recyclage.



La prise en compte de cette capacité qu'on a collectivement à générer des déchets
qui étaient perdus jusqu'à maintenant et au mieux incinérés pour générer de la chaleur,
on va essayer de créer de plus en plus de valeur à partir de ces déchets
et d'éviter les formes les plus catastrophiques,
tel que l'enfouissement ou jeter ça à la mer.



Donc les choses s'améliorent, mais il y a encore énormément à faire.



Ensuite, en amont de l'hyperconsommation,
il y a tout ce qu'on prélève sur la planète pour pouvoir produire ces biens et ces services.



Et là, on sait qu'on est en train, pour certaines matières, d'atteindre les limites
et pour continuer d'en trouver, les conditions d'exploitation sont de pire en pire.



Donc là aussi, on a un problème.



Et puis enfin, et là je sors du domaine strictement environnemental,
c'est l'effet sur les hommes de l'hyperconsommation.



Est-ce que ça nous apporte du bien-être ?



Quand on part de bas, comme les Français sont partis de bas après la guerre,
et qu'on commence à devenir consommateur et à satisfaire ses besoins de base,
incontestablement, consommer, ça améliore les conditions de vie
et ça rend les gens plus heureux, ça génère du bien-être.



Mais quand on a déjà beaucoup,
consommer encore plus quand on consomme déjà beaucoup,
ça ne rend pas forcément beaucoup plus heureux.



Alors qu'on sait que d'autres facteurs ont un impact positif et durable sur le bien-être,
tel que le temps qu'on passe avec sa famille, avec ses amis,
le fait de pouvoir s'adonner à des loisirs,
et notamment des loisirs où on fait des choses,
on produit des choses tangibles ou intangibles.



Mais quand on est orienté sur la consommation,
notamment on est incité à travailler plus pour gagner plus.



Et là, on fait de mauvaises allocations de nos ressources.



Je trouve ça intéressant de se rappeler ce genre de choses
au moment où on est en train d'évoquer le recul de l'âge de la retraite,
alors que toutes les études sur le sentiment de bonheur
nous montrent que l'âge, la tranche d'âge où on est le plus heureux,
c'est en gros entre 60 et 70 ans ou 75 ans.



Et donc, on risque de grappiller des années de bonheur
pour remettre les gens au travail.



Est-ce qu'il faut produire plus ou est-ce que finalement,
on considère qu'on est déjà à un niveau d'opulence satisfaisant,
les gains de richesses qu'on pourra produire dans l'avenir,
on les consacre plutôt à réduire le temps qu'on passe à travailler et à produire
pour allouer ce temps sur des activités
dont on sait qu'elles apportent un vrai bénéfice aux individus.



On a quand même encore un système économique qui a besoin de vendre
et qui, pour vendre, déploie une énergie considérable
pour convaincre le consommateur qu'il faut qu'il continue d'acheter.



Donc, il y a ici un paradoxe, c'est au cœur du capitalisme contemporain,
cette nécessité de passer à une économie plus sobre,
mais en même temps une exigence de croissance
qui, dans le modèle actuel, se conjugue au toujours plus
et donc provoque cette injonction continue à consommer
avec des moyens de plus en plus sophistiqués, de plus en plus efficaces.



Comment on sort de là ?



Alors, la loi, la fiscalité par exemple,
les activités les plus polluantes, allez hop, on les taxe.



L'interdiction de la publicité, certains le revendiquent,
mais si les entreprises n'arrivent plus à vendre,
elles vont licencier.



On va avoir un problème d'activité, de chômage,
de rentrée fiscale, etc.



Enfin, on est un peu dans l'impasse.



D'où l'intérêt peut-être de réfléchir à des modèles économiques d'entreprise
dans lesquels la prospérité de l'entreprise
ne dépend pas ou pas autant des quantités de produits vendus.



Dans un contexte où, effectivement,
on a un vrai problème de pouvoir d'achat et qui va durer.



2023 risque d'être une assez mauvaise année pour les consommateurs.



Si on veut maintenir cet élan vers une consommation responsable,
c'est indispensable dans cette direction.



Il faut d'abord privilégier les voies qui vont concilier
les bénéfices pour le consommateur, les bénéfices pour le citoyen.



Typiquement, les économies d'énergie réduisent sa facture d'énergie.



C'est très bien pour le climat, c'est très bien sur un plan géopolitique
et en plus, tant mieux pour le pouvoir d'achat.



Donc, il y a plein de leviers comme ça, plein de domaines
où on peut essayer de trouver des actions qui réconcilient tout le monde.



Mais malgré tout, le court terme l'emporte toujours sur le long terme
et le fait qu'aujourd'hui le problème,
ça soit l'inflation et le pouvoir d'achat,
fait que la sensibilité aux questions écologiques s'émousse un peu.



Et ce qui plaide pour que réfléchir en priorité
aux formes de consommation responsable
qui peuvent mettre d'accord le consommateur et le citoyen.



En fait, c'est bien ça qui a le plus fonctionné.



Jusqu'à maintenant, quand on regarde attentivement,
par exemple, prenons le marché du bio, qui ne se porte pas bien aujourd'hui.



Mais le marché du bio, il a été boosté
parce qu'il y avait évidemment un impact collectif
sur la planète ou sur le sort des petits producteurs.



On n'était pas du tout indifférent au sort des petits producteurs,
mais surtout il y avait une promesse de santé.



Quand on interroge les mangeurs de bio sur pourquoi ils mangent bio,
première raison, la santé.



Ils pensent que c'est une alimentation plus saine.



On ne rentre pas dans le débat.



L'occasion, la seconde main, qui est en plein développement,
quand on demande aux gens pourquoi ils achètent ou ils vendent d'occasion,
d'abord pour le pouvoir d'achat, c'est moins cher.



Après, c'est bien en plus, ça donne une seconde vie à un produit.



Donc il y a cette croyance que quand même on a une responsabilité
et que notre action peut être efficace.



Et là, ça stimule, ça stimule.



Alors ça stimule pour changer nos comportements,
mais également pour avoir des comportements sur le marché
qui renvoient un signal aux acteurs de l'offre.



Et c'est assez frappant aujourd'hui quand on regarde les publicités,
il n'y a quasiment pas une publicité qui ne met pas en avant
un argument de responsabilité.



Ils ne le font pas uniquement parce qu'ils sont convertis à la vertu.



Certains oui, la plupart non.



Simplement, ils comprennent bien que s'ils veulent que la fête continue,
s'ils veulent continuer à vendre leurs produits,
à recruter des collaborateurs et peut-être demain à mobiliser du capital,
il faut montrer qu'ils ont intégré cette attente de la société.



Donc plus les consommateurs pousseront dans cette direction,
plus l'offre devra répondre.



Donc c'est en ça que, quelque part, ils sont prescripteurs.



Et d'ailleurs, quand on leur demande qu'est-ce qui vous empêche
d'aller plus loin dans la consommation responsable,
ils nous disent souvent, c'est peut-être un peu de mauvaise foi,
qu'il n'y a pas assez d'offres ou que l'offre n'est pas facilement identifiable.



C'est vrai qu'on est un peu désarmé lorsqu'on veut consommer responsable,
de savoir quand on existe entre deux produits, lequel est le plus vertueux.



Donc il y a encore à faire pour aider les consommateurs qui ont envie
d'aller dans cette direction, pour les accompagner, effectivement.



Et c'est là qu'on retrouve le jeu à trois.



Il faut que l'État qui donne les règles, les entreprises qui doivent entendre le message
et doivent agir en conséquence, et les consommateurs,
si les trois sont en diapason, on va pouvoir avancer.

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