• 注册
  • 登录
  • 法语助手▼
    • 法语助手
    • 德语助手
    • 西语助手
    • 欧路英语
  • 在线词典
  • 每日法语听力
  • 法语在线翻译
  • 法语课堂
  • 输入法
  • 法语助手软件
  • 手机版
  • TEF/TCF考试题库
  • 法语背单词App
  • 每日一句:À peine guérie, elle a repris le travail.

法语助手

  • 法语助手
  • 德语助手
  • 西语助手
  • 欧路词典
  • 注册
  • 登录

法语助手

作者的其它帖子:
该作者还未发布其它的帖子

[每日听力]埃菲尔铁塔是如何成为巴黎和法国的象征的?

2023-04-11

  • 0
  • 0
视频播放地址

Pourquoi la Tour Eiffel est au milieu de Paris ?


Mes chers camarades, bien le bonjour !



Ah, Paris !



La ville lumière, la capitale de la France, de l'amour, de la Révolution !



Paris et ses immeubles haussmanniens, ses ponts,
ses cafés trop chers, ses souterrains à l'odeur un petit peu discutable,
ses pigeons gris et moches qui semblent tous avoir un peu une maladie…
Je vais m'arrêter là, vous avez compris.



Mais, en tout cas, que serait Paris
sans cette immense tour métallique de 324 m de hauteur
qui transperce son ciel pour éclairer la ville de mille feux,
devenue célèbre jusqu'à en devenir l'un des monuments les plus visités du monde…
Je parle bien sûr de la très fameuse Tour Eiffel !



Et pour ça, on a de la chance,
car vous le savez pour ceux qui me suivent sur Twitch,
je fais beaucoup de constructions LEGO avec Calie
et justement ils m'ont envoyé un set incroyable, celui de la Tour Eiffel,
pour qu'on puisse vous la présenter !



Et autant dire qu'il y a du boulot !



Un assemblage de plus de 10.000 pièces,
sachant que la vraie tour Eiffel n'est composé "que" de 18.000 pièces environ,
pas mal ? !



Tout ça forme une magnifique œuvre de collection,
de 1m 49 de haut et 57 cm de côté,
donc on vous prévient : il faut avoir le salon qui va avec !



Ce modèle fourmille de détails,
comme par exemple les espaces verts
avec leurs allées dégagées entre les pieds de la tour,
tels qu'ils étaient tracés lors de son inauguration au 19e siècle.



On retrouve aussi ses fameux ascenseurs,
qui d'ailleurs vous serviront de point de repère durant la construction.



Donc pile ce qu'il faut pour replonger dans le temps,
et découvrir chaque aspect de cette prouesse esthétique et technique de la Belle Époque !



Alors c'est quoi l'histoire de la construction de la célèbre Dame de fer ?



Comment celle qui devait être une œuvre éphémère,
démontée assez rapidement,
est finalement devenue le symbole de Paris et de la France ?



Eh bien, c'est ce que je vous propose de découvrir dans cet épisode !



Pour bien comprendre les origines de la tour,
il faut, comme toujours, la replacer un petit peu dans son contexte.



On est donc à la fin du 19e siècle en France,
une période très riche qu'on appelle la Belle Époque,
alors très riche économiquement, mais aussi très chargée en histoire,
en changements sociaux et industriels, et surtout en turbulences politiques.



Durant cette période,
la France compte pas moins de sept régimes politiques différents
depuis la Révolution de 1789 :
deux empires, trois monarchies constitutionnelles, deux républiques,
et une petite guerre civile en prime.



Cette dernière insurrection, la Commune de Paris de 1871,
s'achève dans le sang et les larmes.



La Troisième République apparaît alors,
perdant au passage la guerre contre la Prusse…
et la fameuse Alsace-Lorraine.



Et 1889 approche : la fameuse date anniversaire,
le centenaire de la Révolution Française.



Autant vous dire que les enjeux sont assez lourds :
il faut vraiment marquer le coup,
et consolider la stabilité du nouveau régime,
tout en recréant une filiation politique et historique
avec le siècle, avec tout ce que le pays a traversé !



Et puis, au passage,
on cherche à faire une exposition dite "universelle",
donc un message adressé au monde entier :
on veut prouver que la France, c'est une grande puissance, coloniale,
civilisatrice, porteuse de progrès technique.



Le 20e siècle s'annonce, et elle, elle compte bien y entrer en grande pompe !



Les Expositions Universelles,
dont la première est organisée en pleine Révolution Industrielle à Londres en 1851,
étaient un peu des vitrines de la civilisation moderne.



L'idée est plutôt simple :
le pays hôte invite d'autres nations sur son territoire et organise
une sorte de méga show-room de toutes les dernières innovations possibles de l'époque.



Une façon d'épater la galerie et de montrer à ses voisins,
à travers son savoir-faire industriel, technique et artistique, la prospérité économique du pays d'accueil.



Mais qui dit innovation, dit ingénieurs,
et c'est ici qu'on croise la route du « papa » de la Dame de Fer : Gustave Eiffel.



Né sous le nom de "Bonickhausen, dit Eiffel" à Dijon en 1832,
cet ingénieur se spécialise d'abord dans la chimie,
pour reprendre ensuite l'usine familiale.



Mais une brouille vient compromettre ses plans,
et il retourne alors vers la métallurgie.



À seulement 26 ans,
il dirige déjà la construction du pont ferroviaire de Saint-Jean à Bordeaux.



Et en 1866, à 34 ans, il fonde sa propre société
en achetant les ateliers Pauwels à Levallois-Perret,
qu'il renomme Eiffel & compagnie.



De là, il dirige de nombreuses constructions,
surtout des ponts ferroviaires,
dont le plus connu reste le viaduc de Garabit
qui enjambe les gorges de la Truyère pour relier Bézier à Paris,
grâce à un train qui traverse le Massif Central.



Les ateliers sont aussi associés à la construction de la Statue de la Liberté :
lorsque Eugène Viollet-le-Duc,
chargé de la conception de la structure interne de la statue, décède,
Eiffel est appelé à la rescousse
pour diriger quelques modifications et apporter sa patte à l'édifice.



Comme quoi, Gustave avait visiblement un petit faible pour les monuments célèbres !
Mais même avec un max de savoir-faire,
on ne devient pas comme ça la star de l'Exposition Universelle de Paris !



D'ailleurs quand on dit "Eiffel", il faut pas trop penser "Gustave",
mais plutôt… empire industriel.



Parce que ce grand patron,
il a surtout le don de s'entourer de gens qui sont brillants,
qui mènent à bien les projets, et apportent de nouvelles idées.



Et tout ce petit monde flaire l'air du temps,
les idées neuves, les bonnes occasions à ne pas rater.



Et la preuve… c'est justement la Tour Eiffel !



À l'époque, un désir hante les esprits des architectes audacieux :
construire une tour monumentale de mille pieds, soit 304 mètres, qui toucherait le ciel.



Mais ce rêve se heurte à mille problèmes techniques :
pour l'Exposition Universelle de 1876 les deux américains de Philadelphie Clark et Reeves,
ont déjà pensé à bâtir un immense pylône cylindrique
de 9 mètres de diamètre et de 300 mètres de haut…
mais le projet ne voit jamais le jour.



En 1884, c'est au tour des français Maurice Koechlin et Emile Nouguier d'imaginer un projet identique.



Et qui est l'employeur de ces deux petits génies ?



Les ateliers Eiffel !



Ça fait déjà 10 ans qu'Emile Nouguier y dirige des chantiers.



Quant à Maurice Koechlin, il a travaillé sur le viaduc de Garabit
et dirige désormais le bureau d'étude de l'entreprise.



Le 6 juin 1884, Maurice dessine un tout premier croquis,
et tout est là ou presque :
les quatre pieds qui se rejoignent obliquement au sommet
et les piles incurvées pour résister au vent.



Et alors là, saisi par ce trait de génie, Gustave Eiffel
aligne immédiatement tous les millions sur la table !



Pas du tout, pas du tout !



En fait, il s'en fout complètement,
mais il leur permet de continuer à travailler dessus,
parce que bon, on sait jamais !



C'est alors que Stephen Sauvestre entre dans la danse :
il redessine entièrement le projet, et place trois étages.



Les deux premiers sont conçus avec de grandes salles vitrées afin de recevoir le public.



On installe aussi de grands arcs décoratifs entre les pieds de la tour,
et tout de suite, ça a plus d'allure, du cachet,
et surtout c'est pensé pour séduire le grand public
qu'on se retrouve au pied de la tour ou à son sommet.



Le patron Eiffel sent alors la bonne affaire,
et rachète le brevet du projet, qui est déposé le 18 septembre 1884.



Et voilà la tour est dans les cartons, il y a plus qu'à la mettre sur pied.



Merci Calie de m'aider à la monter, parce que ça...



Écoute c'est avec grand plaisir que… que j'accepte ce défi !



Gustave Eiffel se tourne d'abord vers l'Espagne
et tente de vendre sa tour pour la prochaine expo universelle de Barcelone.



Mais là le maire refuse, parce que le projet est,
je cite : « peu réaliste et surtout beaucoup trop onéreux ».



Il comprend alors qu'il doit gagner en crédibilité.



Et pour ça, pas de secret : il faut convaincre les masses autant que les experts,
à travers une véritable guerre d'influence.



Il dépense une petite fortune en publicité et articles de presse,
et fait jouer ses relations.



Pour gagner la bataille médiatique,
il a déjà choisi son capitaine : Édouard Lockroy.



Et c'est pas n'importe quel bonhomme !



Journaliste, homme politique d'extrême-gauche,
il a défendu Paris en 1870, à la tête d'un bataillon de la Garde Nationale.



Il a soutenu la Commune, été emprisonné sans procès, puis libéré,
et enfin élu député du 11e arrondissement en 1881.



Et maintenant, il est carrément ministre du Commerce et de l'Industrie,
et donc commissaire général de la prochaine Exposition Universelle !



Malin, Gustave Eiffel frappe à sa porte et le convainc d'organiser un concours.



Un concours pour, écoutez bien, étudier « la possibilité d'élever sur le Champ-de-Mars,
une tour en fer à base carrée de 125 mètres de côté et de 300 mètres de hauteur .»



À peine dirigé hein… Plus c'est gros, plus ça passe :
le ministre lance donc, très honnêtement, un concours ouvert à tous
sans forcément savoir que les ateliers Eiffel ont déjà des plans tout prêts,
pile poil ce qu'il faut, pour gagner !



Sans surprise, l'appel lancé en mai 1886 attire plus d'une centaine d'autres projets…
Et toujours sans surprise,
Eiffel gagne, et signe une convention avec le gouvernement en janvier 1887 :
il va avancer de sa poche 80 % des frais.



Mais en échange, la France lui accorde une concession de 20 ans :
vingt années, durant lesquelles tous les bénéfices financiers de la tour lui reviendront.



Et seulement après, la Dame de fer appartiendra à la ville de Paris !



Rien que dans les six premiers mois de l'expo de 1889,
elle va attirer près de 2 millions de visiteurs.



Or elle a une billetterie cette Tour Eiffel :
le premier étage par exemple c'est deux francs.



Le second ?



Trois francs, donc c'est quand même 12 euros !



Et pour le sommet, il faut débourser 5 francs soit presque 20 euros actuels.



Après coup, Gustave Eiffel a donc fait une très belle affaire !



Mais, je vais un petit peu trop vite,
parce que pour le moment tout est sur le papier,
et il faut encore la construire, cette tour !



Dès que le chantier commence en janvier, il se fait de nombreux ennemis.



Des personnalités publiques comme Guy de Maupassant ou Alexandre Dumas protestent
contre cette monstruosité de métal qui risque de défigurer la ville.



Mais Edouard Lockroy, fidèle au poste, défend la tour comme si c'était son propre enfant.



Et Eiffel en personne écrit une réponse aux râleurs.



Je cite : Et pendant tous ces débats,
la tour déjà en construction gagne 12 mètres chaque mois !



Au total, 18.038 pièces de fer puddlé,
c'est-à-dire débarrassé de leur excès de carbone,
sont fournies par les Forges Dupont et Fould.



Elles sont ensuite tracées, découpées et percées
dans les ateliers Eiffel de Levallois-Perret.



Puis on les emmène jusqu'au Champs-de-Mars sur des charrettes.



Et là, il n'y a "plus qu'à" les assembler.



Ah oui mais ça va être long en fait !



Ah oui je pense qu'on en a pour plusieurs soirées ouais !



Ouais, et bah je…
En tout cas, comme je disais tout à l'heure merci pour ton aide,
hein, je te laisse, et puis je reviens après ?



Voilà !



Ah !



Ok !



Aller, salut !



Bon.



Ce montage commence en juillet 1887.



Au fur et à mesure, les pièces doivent être hissées de plus en plus haut.



On les boulonne provisoirement en attendant que
les riveurs puissent les fixer définitivement sur le chantier.



Plus de 117 charpentiers, qu'on appelle des voltigeurs,
assurent ce travail dangereux et épuisant.



Les conditions de travail de l'époque sont absolument harassantes
et la hauteur du chantier complique considérablement la tâche des riveurs
qui travaillent sur de minuscules plateformes,
avec très peu de protection contre le vent et le froid.



Les salaires sont quand-même assez élevés :
par exemple un charpentier gagne 2 francs par jour en moyenne soit 8 euros actuels.



Les voltigeurs, eux, ont le droit à 80 centimes,
soit un peu plus de 3 euros, rien qu'en une heure !



Mais bon, il faut imaginer la galère, et surtout la fatigue !



Le chantier s'étale sur les saisons :
on a 9h heures par jour de travail en hiver… et 12h par jour en été !



Et ça, qu'il vente, qu'il neige, qu'il gèle, ou qu'on cuise sous 40 degrés bien tapés !



Ce qui devait arriver arriva donc : en septembre 1888,
alors que le deuxième étage de la tour est construit,
les ouvriers se mettent en grève.



*Bruit de Calie enclanchant le 2e étage de la tour sur le premier*



Bon bah maintenant, si tu me ramènes pas un truc à boire, moi j'arrête !



Pas content !



Eiffel tente bien de jouer les gros durs
en menaçant de virer tous ceux qui ne reprendrait pas immédiatement le travail…
Mais en fait, il a un planning serré à tenir, et donc il cède très vite,
accordant une augmentation de 14 centimes.



Arrive l'hiver, et là rebelote : les ouvriers parlent à nouveau de grève.



Gustave Eiffel a anticipé le coup : cette fois,
il montre la carotte… et le bâton.



Les pires meneurs de la grève sont renvoyés…
et on propose une prime :
100 francs, cash, à tous ceux qui reprendront le travail immédiatement.



Pour l'époque, c'est un geste qui est plutôt convaincant.



Alors le chantier continue,
et même si Eiffel s'est un petit peu pris pour Hercule en fixant un délai de 12 mois,
il en faudra quand même 24.



Et bah globalement, ça se passe plutôt bien.



En deux ans de travaux, sur plus de 100 ouvriers et 50 ingénieurs,
il n'y a qu'un seul décès, et encore, c'est en dehors du temps de travail.



Nous voilà donc en mars 1889,
juste à temps pour l'ouverture de l'Exposition :
les travaux s'achèvent à peine.



La plus haute construction du monde est achevée.



Gustave Eiffel reçoit la Légion d'honneur.



Le 15 mai 1889, tout le monde se tourne vers cette nouvelle merveille.



Un titan de 324 mètres de haut pour 10.100 tonnes,
tenu par 2.500.000 rivets.



Il explose 2 records d'un coup,
étant le premier édifice de plus de 200, et de 300 mètres.



D'ailleurs, il n'est détrôné qu'en 1930, par le Chrysler Building à New-York.



Son premier étage, situé à 57 mètres au-dessus du sol,
est d'une superficie de 4.220 mètres carrés
et peut supporter le poids de 2500 personnes.



La galerie circulaire permet de voir Paris sur 360°.



Le deuxième étage, à 115 mètres au-dessus du sol,
fait 1.650 mètres carrés et peut accueillir 1600 personnes.



Enfin à 273,13 mètres de hauteur
le dernier étage n'est accessible que par l'ascenseur.



Là, notre bon Gustave s'est aménagé un petit bureau :
contrairement à la légende,
il n'y a jamais séjourné de façon permanente.



Par contre, il reçoit de nombreux invités dont Thomas Edison,
qui lui offre son phonographe !



Un inventeur aussi célèbre, moi je dis c'est plutôt un signe !



Parce que oui, la tour ne sert pas qu'à faire joli,
elle a aussi un véritable intérêt scientifique,
et c'est ça qui va la sauver.



Parce que, après le triomphe des 2 millions de visiteurs,
malgré sa belle couleur rouge Venise,
la curiosité pour la Tour Eiffel, elle va s'estomper assez rapidement.



Même lors de la suivante Exposition Universelle de 1901,
les visites restent très inférieures à ce qui était attendu.



La Tour Eiffel elle est passée de mode tout simplement,
et certains proposent de la détruire
lorsque la concession de Gustave Eiffel prendra fin.



Gustave Eiffel mène donc un second combat :
il doit de nouveau sauver sa tour.



Heureusement,
il n'y a pas que des Edison pour admirer l'intérêt technique de la tour !



Dès le début,
chaque palier avait une salle spéciale réservée aux expériences scientifiques.



D'ailleurs, la Tour est devenu une sorte de panthéon scientifique de l'époque :
72 noms d'ingénieurs, architectes et savants français y sont inscrits.



C'est un véritable monument à la gloire de la science !



Eiffel en personne finance de nombreuses recherches,
avec un laboratoire de météorologie, et en 1909 une petite soufflerie.



Mais il surfe surtout sur une nouvelle technologie,
la télégraphie sans fil, ou TSF. Depuis la tour,
le chercheur Eugène Ducretet parvient à établir en 1898
une première liaison radio avec le Panthéon situé 4Km plus loin !



Grâce à ça, la concession est prolongée de 70 ans.



Ce qui est plutôt une bonne chose,
car quand la Première Guerre mondiale éclate,
c'est en haut de la tour Eiffel que
de nombreux messages importants sont interceptés et décryptés !



Y compris le "radiogramme de la victoire",
qui annonce aux Parisiens que ça y est : l'armistice a été signé !



Imaginez un petit peu la joie des gens à l'époque !



En tout cas, c'est pas la première fois que
la tour s'ancre dans l'histoire de Paris, et des Français.



À partir de 1921, elle abrite la première station de radio française : Radio Tour Eiffel !



Durant l'entre-deux guerre, elle sert aux débuts du développement de la télévision.



Puis sous l'occupation allemande,
elle est réquisitionnée par la Wehrmacht qui l'utilise pour émettre des émissions
à destination des militaires allemands blessés qui se retrouvent dans les hôpitaux de la région.



Ils placent également à son sommet un faisceau lumineux
destiné à guider les avions dans la nuit.



Un dispositif qui existe encore de nos jours,
et qui aurait pu disparaître lorsque les nazis prévoient de détruire la tour…
et tout Paris avec.



Mais ouf, les Alliés sont arrivés juste à temps !



La tour n'est rouverte qu'en 1946,
et c'est seulement là qu'elle vit son véritable âge d'or touristique.



Et oui, il y a eu un petit changement entre-temps : la mondialisation.



Dès 1963 on franchit à nouveau la barre symbolique des 2 millions de touristes par an,
un score qui augmente encore et encore,
puisqu'on atteint maintenant les 7 millions de visiteurs par an,
soit 300 millions de personnes depuis son ouverture en 1889 !



Une fréquentation que Gustave Eiffel, mort en 1923,
devinait peut-être quand il a dit :
Finalement, cette tour "irréalisable", "laide", "monstrueuse", "inutile",
Aura survécu à 2 destructions et 2 Guerres Mondiales
pour devenir non seulement le symbole de Paris mais même de la France toute entière !



Merci à notre partenaire pour cet épisode, le groupe LEGO,
qui nous a proposé ce magnifique set qui vous occupera pas mal d'heures !



Si ça vous intéresse je vous mets un lien en description !



Merci à vous tous d'avoir suivi cet épisode, merci à Lucie Terreros qui l'a écrit.



Oubliez pas de nous lâcher un petit commentaire, de partager, de vous abonner à la chaine,
et on se retrouve très bientôt sur Nota Bene, salut !

沙发还没有被抢走,赶紧过来坐会吧

法语助手

作者的其它帖子:
该作者还未发布其它的帖子

法语助手最权威的法语词典

前往下载

法语助手最权威的法语词典

扫描二维码,下载《法语助手》

返回法语角首页
广告联系| 意见反馈| 合作伙伴| 关于法语在线词典|手机版网站 | 法语热词榜| HTTPS 欧路软件 ©2025 词库版本20181007 沪ICP备08016489号 沪公网安备 31010702001490号